Les images aériennes peuvent être utilisées dans les vidéos publicitaires pour offrir une vue d'ensemble, créer une sensation d'émerveillement, donner une impression de professionnalisme et montrer la situation géographique d'un lieu.
Elles ajoutent une grande valeur aux productions audiovisuelles en offrant une perspective unique, en ajoutant de la dynamique et en améliorant la qualité globale de la production.
Cet article a été co-rédigé avec l'aide de l'IA (ChatGPT) dans le but de proposer des contenus complets et pertinents.
Débuter dans la prise de vue aérienne
La catégorie Ouverte permet de faire voler un aéronef dans des conditions réputées simples et peu risquées. De manière générale, les vols sont interdits dans les espaces publics, les zones urbaines, commerciales et industrielles, ou dans les zones à proximité des aéroports, aérodromes, héliports. Voici les principales démarches à suivre :
Enregistrement en tant qu’exploitant européen d’UAS sur le site AlphaTango lorsque cela est requis (aéronef ayant une masse supérieure à 250g ou équipé d’une caméra). Le numéro d’exploitant d’UAS doit être apposé de manière lisible sur l’aéronef.
Utilisation d’un aéronef comportant la mention d’une classe associée à l’usage souhaité (des usages d’aéronefs sans mention de classe de masse inférieure à 25 kg sont également possibles)
Si la masse est supérieur à 800g et/ou s’il est équipé de signalement électronique, enregistrement de l’aéronef sur la plateforme dédié AlphaTango.
Suivre la formation et réussir l’examen sur le portail internet AlphaTango. Lors de tout vol, le télépilote doit être muni de son attestation de suivi de formation (et de son certificat de télépilote professionnel pour opérer en A2 limité le cas échéant), au format papier ou électronique, et d’une pièce permettant de justifier son identité. Il doit présenter ces documents aux autorités en cas de contrôle.
Respecter l’intégralité des limitations associées à chaque sous-catégorie en respectant les conditions d’utilisations (zones d’interdiction, hauteur maximale, proximité des personnes…) visibles sur le site Geoportail.
Si vous possédez un aéronef de moins de 250g, aucune démarche n'est requise mais je vous invite tout de même à suivre la formation en ligne et de lire le guide.
Télécharger Guide sur la catégorie Ouverte, édité par la DGAC
Vous pouvez aussi visitez les sites https://www.mach7drone.com/ ou https://www.drone-spot.tech/ pour avoir des renseignements plus précis sur les zones soumises à des restrictions.
LES CATÉGORIES SPÉCIFIQUE ET CERTIFIÉ
La catégorie spécifique s'applique aux drones qui ne respectent pas les règles de la catégorie Ouverte, par exemple les drones qui volent au-delà de 120 mètres de hauteur, ou les drones qui sont utilisés dans des zones à risque, comme des zones peuplées ou des zones industrielles. Les règles de la catégorie spécifique sont plus strictes et les opérateurs de drones doivent avoir une formation spécifique et obtenir une autorisation de l'autorité compétente avant de pouvoir utiliser leur drone.
Voici les démarches à suivre :
Connaître les règles de la catégorie spécifique : La catégorie spécifique s'applique aux drones de moins de 25 kg qui ne peuvent pas être utilisés dans la catégorie ouverte en raison de leur utilisation, leur configuration ou leur performance. Vous devez donc connaître les règles spécifiques applicables à votre utilisation de drone, qui peuvent inclure des restrictions de hauteur, de distance ou de zone de vol.
Obtenir une formation : Vous devez obtenir une formation spécifique pour utiliser votre drone en catégorie spécifique. Cette formation peut être dispensée par un organisme de formation agréé par la Direction Générale de l'Aviation Civile (DGAC) ou par une structure déclarée à la DGAC.
Élaborer un manuel d'activités particulières (MAP) : Vous devez élaborer un manuel d'activités particulières (MAP), qui décrit les procédures de sécurité que vous allez mettre en place pour votre activité. Ce MAP doit être soumis à la DGAC pour validation.
Demander une autorisation de vol : Vous devez demander une autorisation de vol auprès de la DGAC, en précisant les caractéristiques de votre drone, le lieu et la durée de votre vol, ainsi que les mesures de sécurité que vous avez prévues. La DGAC peut vous accorder une autorisation de vol sous certaines conditions.
Respecter les règles de sécurité : Vous devez respecter les règles de sécurité liées à l'utilisation de drones en catégorie spécifique, qui peuvent inclure des mesures de sécurité particulières en fonction de votre utilisation de drone.
La catégorie certifiée concerne les opérations de drones les plus complexes et les plus risquées, comme les vols commerciaux ou les vols en zone sensible (aéroport, centrale nucléaire, etc.). Cette catégorie exige une certification spécifique du drone et du pilote, ainsi que la mise en place de mesures de sécurité très strictes.
LES ASSURANCES
Si vous utilisez un drone à des fins professionnelles, vous êtes responsable des dommages éventuels que vous pourriez causer à des tiers (personnes, véhicules, bâtiments, etc.). Il est donc recommandé, voire obligatoire, de souscrire une assurance responsabilité civile professionnelle pour couvrir ces risques.
Voici quelques exemples de compagnies d'assurance qui proposent des assurances RC PRO pour les drones :
Atlantas
Air-courtage
Drone-Assur
AXA : ancien leader sur la marché, nous vous déconseillons aujourd'hui de souscrire un contrat dans cette compagnie.
QUELS AÉRONEF UTILISER ?
Voici quelques références de la marque DJI, en fonction de votre budget :
Budget de 300 - 800 €
DJI Mini 4K (250g) - CMOS 1/2,3 - 4K/30 ips - 300 €
DJI Mini 3 (250g) - CMOS 1/1,3 - 4K/30 ips - 380 €
DJI Mini 4 Pro (250g) - CMOS1/1,3 - HDR 4K/60 ips - 800 €
Budget de 900 - 1400 €
Budget à partir de 2000 €
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